| Posted On: | 2007-05-04 22:17:38 |
Je suis tellement bien lorsque tu es là.
Avec toi, il n'y avait jamais de tracas.
Et avec toi, j'aurais passé le reste de ma vie,
même avec les moments parsemé d'ennuie.
Mais aujourd'hui, je suis toujours bien quand tu es là.
Mais il y a une différence, je sais qu'elle est bien là.
Ta vision a changé ou tu as changé d'idée.
Tu n'as plus envie de partager ta vie.
À partir d'aujourd'hui, nous serons des amis.
Je sais que je ne peux te forçer à m'aimer,
mais sache que tout de même, je vais espérer.
De t'entendre dire que finalement, tu y as repensé,
que de moi, tu ne peux te passer.
Je vais m'ennuyer de tes doux baisers sucrés,
de tes bras si réconfortant autour de mon corps,
de ton regard qui me voyait tel un diamant.
Je m'ennuie même de ton ronfflement,
des rares journée ou ont se levaient tranquillement,
faisant l'amour lentement.
Tout ces beaux souvenirs me font souffrir.
De toutes ces choses, je devrais m'abstenir.
Je devrais me contenter de ton amitié,
qui est déjà beaucoup, j'Avoue.
Mais qui n'est pas assez de ce que j'aurais souhaité.
Comment ne pas devenir dépendant
après avoir gouté à une bonne dose de bonheur?
Comment imaginer que ce bonheur ne faisait que passer?
Comment réussir à ne pas pleurer?
J'aurais voulu que ce bonheur dure pour toujours,
qu'il survive aux jours lourds.
Ce n'était pas extravagant,
mais ça me plaisait comme ça.
Mais j'aurai beau vouloir n'importe quoi,
par dessus tout, j'aurais voulu être celle...
Celle qui fait palpiter ton coeur de bonheur,
celle qui te donne des papillons dans l'estomac,
celle qui est parfaite pour toi.
Malheureusement, je ne suis pas celle-là.
Mais je continue de rêver très fort
qu'un jour pas si lointain
on se retrouve pour de bon,
ne laissant qu'un vieu souvenir
d'une mauvaise étape dans nos vie,
laissant entrevoir un avenir de pur bonheur.
Et ce jour là, j'aurai cessée mes pleurs.
J'aurai la seule chose qu'il me fallait pour être heureuse,
ton être en entier,
toute ta personne...
Toi.
