inspired

(mean

Jefferson airplane- white rabbit

I live on willbrord, there's always a bunch of couch drunkn serfer in my glamourous museum appartement. When we wanna laugh out loud, we just sit on the balcony and watch BS who still wear Fluo clothes.
I was living on argyle as a child, some of my friendz still live on dat street...Verdump, land of la mèque des pauvres. Oh, my voisin, passe jour apres jour la gratte dans la garnotte de sa cours. Vraiment, je veux faire un film documentaire low budget sur les moeurs dans verdump, c'est juste trop weird le monde qui vivent ici, la preuve? j'y habite MOUHAHAHA

Les mousses-fraîches from Belgium.

La mousse dans l'nombril.

Ainsi soit-il ----->°_O


J'assimile le mois d'avril,
Ah, ghetto cubiste arraché des échos,
Débile au coeur de la ville en exile,
Je me fais défaut, Oh, ex aequo à la Picasso,
Et dans ce péril vu de profil,
Dans cette eau, les mains au lavabo,
Je peint cette asile stérile et hostile
Sur un tombeau recto-verso.

damn, this is sad, very bad. It remind me a song of felix Leclair «(..) le plaisir de l'un c'est d'voir l'autre se casser l'cou(..)»..Ghandi a dit «Si ce n'est que oeil pour oeil, on finira tous aveugles.»..Donc, faire valoir sa colère et ses idées par le biais de la violence n'entraine que la violence. C'est vraiment domage qu'en plus ca se passe a MTL, ou qu'importe, n'importe où dans le monde, que quelqu'un 'règle' son problème en fesant exploser une bombe. Putain, dans une bibliothèque. Et dire que la bibliothèque d'Alexandrie a brulé à cause d'un despote fou. The toping is straight to the point :its turnind into a very nasty world.

LOL, oui la dicté PGL pour amasser des sous pour construire des écoles dans le tiers monde. Je me souvien qu'avec le nombre de fautes d'orthographes ( 10 fautes par 11 mots lol), je n'amaissais pas une cenne pour la bonne cause hihi

=) yay for that line neoform!

Azz, but anyway, it ain't all about the pix, you read correctly my friend ? I've seen her on a street's corner.

G: Dude, it is you then who steal the poetic drama that I wrote on some profile who copy-paste it on IRC ? you want the credit, take it dude. I can write 10 000 others texts like that in a day. So take this one, take em' all my friends, it is yours. But the creativity, u cannot have it, sorry. :P

Bonjour,

je vois souvent le terme PGL, est-ce Paul-Gérin-Lajoie l'école secondaire à Outremont?
Car j'ai été à cette école en concentration théâtre. Ca sera drôle de savoir que des gens de ravewave on été à la même école et qui on surement vu un de nos présentation théâtre ( L'odysée-sec.2, Les précieuses ridicules-sec3, zone-sec4, jimmy shine-sec5), qui on eu les même profs PAM (paul-andré Michaud), Monsieur Caron (pfhaha monsieur Caron...)

Alors s'il y a qqn de P-G-L, say it loud! j'organise un souper de Pégélois bientot..Msg me =D

Still some snow falling on this 6 april piss me off.

I want those ghouls to stop howling in my backyards. Damn em' beasts.

Once, my roommate and I was drunk as gnomes. He was sleepwalking and came sleep beside me in a spoon position. This freak me out.

(translation word for word with a Larousse pocket dictionary, otherwise oublie ca, je suis trop nul en anglais)

Besides the mountains on my hairy scalp, the wind
infiltrate in my epidermis, the land sleeping on my iris, the flakes in my nails, the ''no no no'' in my knees, the ''yes yes yes'' in the profound
of my beard, the funeral hybrid conceal in my biceps and the analphabets in my bobettes, no I had nothing. Oh, of course I've drank somes beers with elation on the edge of the immense window who guide the interior of my spirit towards extern conscience (wtf). Also my lungs were full up like a broken vacuum filled with thetrahydrocanibinol dirt, no, I didn't took nothing major.
But you know what ?
I've took a fragment of the sky, I've cleaned it, i've polished it and I behaved it between 2 sheets of my sketch book. It's my friend.
He's so small, he look like nothing at all,
(innoncenté) about murder, I love my rest of purity, my sky (sous-tiré ?) now draw like a liquid diaphragm.
In my pastoral delirium, I attempt to drink it, till' the last drop, but nothing to do, he flee, he evade letting me alone with a blank page that I fill with inappropriate words, illogical, unseemly and unpur words.
What's after? what comes next ?

OMG, at least I learn new words by doing this =D

It came out of myself by itself- like written previously.

Yes it is from me, I don't feel guilty
I've just wrote these line
to clear my mind, no doubt, somehow funny
I agree, but don't think twice it's all right G.

I'm also confuse to see that here.
No problem, I don't take it as an offence.

**switch to french, 10-4 roger**

Effectivement MArley Marl, je ne savais pas trop quoi faire de mon temps.

ApR1zM est translation ever =D ca m'a fait rire..

Leonard Cohen- A bunch of lonesome heroes

I'm Hardcore, HHC type. Gimme 145 bpm and more and see the fury unleash ;) ''Bounce'' said the happy old punk dude.

Lol verdun c pas si pire à part etre la cité du brun et de douglas hospital qui fouinnent dans les rues. Ah oui, le dunkin donut coin Willibrord et Wellington c'est un aquarium pour débille légers. =P

Nina Simone- Sinnerman

I want terminator to go back in time (like usual)
to defend Jesus christ.
Jesus- Machine, I must die!
Terminator- Jesus Christ, you must survive.

I, a automatic thinker who live the turns of the regular basis routine
transformed into a hypnotic bastard dream. I, also modern scientist,
who also live the turns of the ancient figure of beauty into a motherfuckin'
explosion of ideas. I am an artist, who turns colors and hours into higher desire for
creation.

Trop trash la pix de Mcdo !!!

Louise attaque- Tu dis rien

I want to play this correctly with my guitar:

Em Am D Em
I laid on a dune I looked at the sky When the children were babies And played on the beach
Am D Em
You came up to behind me I saw you go by You were always so close and still within' reach
G Bm C
Sara, Sara
D C Em
Whatever made you want to change you mind
G Bm C
Sara, Sara
D C Em
So easy to look at, so hard to define.

I'm couting screaning, OH I HAVE 6,65$ plus a 5 !!!!! YAY I can buy a dime. Now i'm padging the dealer...;)

Rows of houses all bearing down on me
I can feel their blue hands touching me
All these things into position
All these things we'll one day swallow whole
And fade out again and fade out

This machine will not communicate
These thoughts and the strain I am under
Be a world child, form a circle
Before we all go under
And fade out again and fade out again

Cracked eggs, dead birds
Scream as they fight for life
I can feel death, can see it's beady eyes
All these things into position
All these things we'll one day swallow whole
And fade out again and fade out again

Immerse your soul in love
Immerse your soul in love.

je n'étais pas très lucide lors de la composition de ce texte. C'est pas génial. Mais bon, chanté avec 2 guitares hier soir c'était interessant.

Yay tamtam de lendemain d'pillz, hourray vive l'été qui arrive!!! :)

Soyons heureux d'avoir des tonnes de bobines métalliques, des rouages modernes, des machines technologiques qui chassent les mauvais rêves, des aliments transgéniques qui font nos travaux à notre place, des ordinateurs si petits qu'on peut les utiliser comme vibrateur, des usines d'énergies, des forêts anéanties mais des tonnes et des tonnes de boites, de papiers, de post-it, des factures, des chiffres, des conditions de travail, des heures de cours, des titulaires qui comprennent pas la moitier de ce qu'on dit, des bénévoles pour causer le mépris, des langues bilingues qui s'affrontent, des combats sans merci virtuel, des danses contemporaines bougées dans l'ombre, des établissements et des pénitenciers hors-paire pour le confort, du papier sablé rouge, raide et saillant de sang, des visage griffonnés, des enfants arrachés, des moteurs explosés, une ville enflammé, des passants innocents, des tâches d'huiles sur les toits, du goudrons dans les mains, des plumes dans les pantalons, de la colle sous les pieds, des poubelles repugnantes, une odeur qui émeut le sens olfactif, des rayonnement catodiques, des ébauches malsaines que l'on ne peut s'offrir présentement, des maniaques pédophiles qui grugent des dents, des pétards que les motards déposent sous les statues, de l'action painting rapide comme une meute de gorilles sur l'acide, des supositoires que l'on chient par mégarde, des bactéries que l'on aspirent bonnement dans une tour à bureau qui les produit, des padgets, des cellulaires, des gadjets qui vibrent, qui sonnent, qui appèllent, qui répondent, qui ferment, qui ouvrent, des magazins prospèrent, des grandes rues, des allées, des ruelles sombres, des chats, des matous, des femelles, ils copulent, elle miaule, c'est la galère dans l'atmosphère et soudainement une fenêtre s'ouvre, elle claque au vent, il souffle, il gronde, il aboit comme un chien errant, galeux et piteux, il est méchant, atteind de la rage c'est un démons avec de grande ailes, ouverte il s'envole vers le ciel, contraste de feu contre le firmament ouvert, infini, intercidéral, la 4eme dimension qui fuit vers le point de fuite, frigide, fragile aussi mais innaparente, incertaine d'exister; dans le doute, la crainte, la peur, la honte, l'horreur, le meurtre! C'est un acte de vendalisme sur l'espace art, on l'a gribouiller, bouziller, les fusibles on pétés, l'eau c'est évaporé , le décor est mon corps sèché comme le Sahara, déshydraté comme un paumé coin St-Michel et Lorimier qui quète la faim, qui quète la soif, qui quète le soleil de chaleur, de tendresse, de douceur, d'embrassade et de collade quand il se fait tard, avec la lune, jalouse comme une barique, grosse comme une baleine, éritante pire qu'un porc-qué-pic et sale comme un bain de boue, taillé comme un marbre gigantèsque, gargantuesque, monstreux quand il s'abat sur nos tête stalagmites qui éclatent comme de la dynamites, comme des bombes 'H', des bombes apocalyptiques, des engins de guerres, des tranchées coupés, des membres sectionnés, fusillés, condamnés à mort; chaisse électrique, gaz jugé d'un avocats, d'un jury, d'un témoins, d'un crime, injustice très juste pour les firmes, les infirmes n'y on droit, c'est le droit d'être qu'ils ont, alors soit? voit le malheur de l'espérance, espéré pour désagréger subtilement mais surement le momment présent, se l'enlever pour l'espérance créant l'amertume de n'avoir ce que l'on désire et se le dire, se l'écrire, se le chanter avec une guitare en Amazonie déjà éphémère et blanchie, la faire frire, la sourire, mais reculer quand le tsunami de la mer arrive à grand pas, il raze la berge, les dunes, les cailloux et les coquillages, comme un acteur cinématographique sur un collage, un minime montage sur un gateau de crémage que seul la sagesse du vieux sage repousse par magie, cette furie, cette agonie mortellement froide, sans chair, sans peau ni lymphe, légère comme une punaise mais douloureuse comme une guêpe, une ruche d'aibelle au complet qui te fonce droit dessus, la vague ravage les piaules, les ghettos, les centre-villes, les habitations rurales, les fermes, les champs de blés, le maïs et la compagnie de general food, c'est la pagaille, les yo frappent des balles qui pètent des vitres, les trucks de pompier trimballe des pin-up americaines, Monroe, Spears mais Charles Manson n'a pas de machette, juste un manche, une sorte d'ouvre-boite et il jongle avec, il s'empifre des restes des riches, des os et des fragments de libraires heurté dans le chaos, c'est la mort, c'est le souffle de rage: la renaissance de l'âme. Je m'ennuis tant que je conterais une histoire illogique et incongrue a une pastèque, a la jungle urbaine qui existe au dépend de la famine de l'un, de l'espérance de l'autre. Je braille mes mots, je les pitch, je les hi-fi, je les martèllent violament comme un défoncé sur la K, comme un extasiste sur la MD, très WAK ce MEK pas de BAC surtout pas un DEC, et puis quoi? soudeur, métier de construire, de démolir, d'anéantir, militaire de la terre, artiste dans l'univers, rien à foutre, tu sais quoi? Discutions générale, assemblé de philosophie, rassemblement funéraire chez Alfred Dalaire, ma grand-mère est morte, soit de ceci ce qu'elle m'a apprit; l'indignation de ceux qui s'attaquent aux autres par principe, par pétition, par jonction d'union, de question, la révolution cette science-fiction, ce drame que j'habille de songes à rayons, dans une manoir, une immense maison sur une failaise, faible teneur en gras, hypnose, inconfort n'est-ce pas? La petite lumière éphervécente se dirigait à moi dans toute sa pâleur, crayant le pire je recula, à contre-pas, mais je recula finalement adosé contre ma chaise, les cheveux blasté vers l'arrière comme un mystère musical, innondé dans le piano, dans le violon, la contre-basse et le bas prit dans un barbelé; zut! Attend, c'est bien une flûte que j'entend? ouais, c'est mozart, non! c'est un serpent à sonette, sordide sornette, c'est un lézard qui joue a pac-mac, son rival le plante carré à tetris, c'est un risque mais vlan dans ses dents. Établissons des règles et des lois, prévenons le matyre, prévenons Stef Carse, prévenons Castro, prévoiyons le mauvais temps, bénissons l'essence et le pétrole, soyons francs.
Dans une marmitte mélangeons le sort du créole et de l'ancienne cabale pour obtenir un elixir miranbolant de nouvelles conceptions! Soyons menteur. Laissons les se tirailler sans s'en mêler, ils dorment, comme un enfant, nouveau née qui ne sais pas encore de quoi il faut se soucier, se questionner pour la vérité. Battez vous, battez vous, je ne regarde même pas, je constate le constat d'infraction est grâve dans la lessive vive et marrons quand tu gobe juste un peu trop de champignions, knowmsayin, c'est du slingue, la langue des pauvres que le trisomique french à grand coup de langue dans le métro, c'est la ressource du dingue quand il ne veut pas te frapper quand tu lui tire les nerfs hors de la peau, c'est le symbole d'arrogance quand le langage est maitrisé mais qu'il s'abaise pour te dicter a ton niveau ce que son flow raconte dans l'assiete, entouré de frittes et de hot-dogs steamés a 59 cennes, t'aimes ca dis ? moé aussi. J'arrete cette montée dans une dernière descente qui me hante, me tourmente, me flagèle comme un Christ démentiel, un anté-christ tattoué de swatiska, armé de Ak-47 et de Mp3, tabarnack esti de calisse de saint-sacrament de calvaire de grosse vache laide qui pue, qui jute le jus en tout sens, meurs! MEURS automatisme en moi, ne revient pas, ne te retourne pas, va au trépas, du pouvoir de l'ombre rejoint les rangs, que l'avarice et la luxure soit les pilliers de ta culture. In vino veritas, cheers, santé, nastroviet, chin, salute......................

-Tête de toast brulée enrobée de plâtre

Well, the crowd, they gathered one fine morn,
At the man whose clothes 'n' shoes were torn.
There on the sidewalk he did lay,
They stopped 'n' stared 'n' walked their way.

I'm walkin' down that long, lonesome road, babe
Where I'm bound, I can't tell
But goodbye's too good a word, gal
So I'll just say fare thee well
I ain't sayin' you treated me unkind
You could have done better but I don't mind
You just kinda wasted my precious time
But don't think twice, it's all right

Je veux de la DÉBAUCHE! (ou un chat mâle qui pine ma chatte en chaleur à gosse là).

l'été l'été c'est fait pour jouer (passe-partout song)

did some1 was at santa claus revenge ?