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Automatisme Inductif
Good [+1]Toggle ReplyLink» BOBDYLAN replied on Fri Apr 2, 2004 @ 7:46pm
bobdylan
Coolness: 148160
Soyons heureux d'avoir des tonnes de bobines métalliques, des rouages modernes, des machines technologiques qui chassent les mauvais rêves, des aliments transgéniques qui font nos travaux à notre place, des ordinateurs si petits qu'on peut les utiliser comme vibrateur, des usines d'énergies, des forêts anéanties mais des tonnes et des tonnes de boites, de papiers, de post-it, des factures, des chiffres, des conditions de travail, des heures de cours, des titulaires qui comprennent pas la moitier de ce qu'on dit, des bénévoles pour causer le mépris, des langues bilingues qui s'affrontent, des combats sans merci virtuel, des danses contemporaines bougées dans l'ombre, des établissements et des pénitenciers hors-paire pour le confort, du papier sablé rouge, raide et saillant de sang, des visage griffonnés, des enfants arrachés, des moteurs explosés, une ville enflammé, des passants innocents, des tâches d'huiles sur les toits, du goudrons dans les mains, des plumes dans les pantalons, de la colle sous les pieds, des poubelles repugnantes, une odeur qui émeut le sens olfactif, des rayonnement catodiques, des ébauches malsaines que l'on ne peut s'offrir présentement, des maniaques pédophiles qui grugent des dents, des pétards que les motards déposent sous les statues, de l'action painting rapide comme une meute de gorilles sur l'acide, des supositoires que l'on chient par mégarde, des bactéries que l'on aspirent bonnement dans une tour à bureau qui les produit, des padgets, des cellulaires, des gadjets qui vibrent, qui sonnent, qui appèllent, qui répondent, qui ferment, qui ouvrent, des magazins prospèrent, des grandes rues, des allées, des ruelles sombres, des chats, des matous, des femelles, ils copulent, elle miaule, c'est la galère dans l'atmosphère et soudainement une fenêtre s'ouvre, elle claque au vent, il souffle, il gronde, il aboit comme un chien errant, galeux et piteux, il est méchant, atteind de la rage c'est un démons avec de grande ailes, ouverte il s'envole vers le ciel, contraste de feu contre le firmament ouvert, infini, intercidéral, la 4eme dimension qui fuit vers le point de fuite, frigide, fragile aussi mais innaparente, incertaine d'exister; dans le doute, la crainte, la peur, la honte, l'horreur, le meurtre! C'est un acte de vendalisme sur l'espace art, on l'a gribouiller, bouziller, les fusibles on pétés, l'eau c'est évaporé , le décor est mon corps sèché comme le Sahara, déshydraté comme un paumé coin St-Michel et Lorimier qui quète la faim, qui quète la soif, qui quète le soleil de chaleur, de tendresse, de douceur, d'embrassade et de collade quand il se fait tard, avec la lune, jalouse comme une barique, grosse comme une baleine, éritante pire qu'un porc-qué-pic et sale comme un bain de boue, taillé comme un marbre gigantèsque, gargantuesque, monstreux quand il s'abat sur nos tête stalagmites qui éclatent comme de la dynamites, comme des bombes 'H', des bombes apocalyptiques, des engins de guerres, des tranchées coupés, des membres sectionnés, fusillés, condamnés à mort; chaisse électrique, gaz jugé d'un avocats, d'un jury, d'un témoins, d'un crime, injustice très juste pour les firmes, les infirmes n'y on droit, c'est le droit d'être qu'ils ont, alors soit? voit le malheur de l'espérance, espéré pour désagréger subtilement mais surement le momment présent, se l'enlever pour l'espérance créant l'amertume de n'avoir ce que l'on désire et se le dire, se l'écrire, se le chanter avec une guitare en Amazonie déjà éphémère et blanchie, la faire frire, la sourire, mais reculer quand le tsunami de la mer arrive à grand pas, il raze la berge, les dunes, les cailloux et les coquillages, comme un acteur cinématographique sur un collage, un minime montage sur un gateau de crémage que seul la sagesse du vieux sage repousse par magie, cette furie, cette agonie mortellement froide, sans chair, sans peau ni lymphe, légère comme une punaise mais douloureuse comme une guêpe, une ruche d'aibelle au complet qui te fonce droit dessus, la vague ravage les piaules, les ghettos, les centre-villes, les habitations rurales, les fermes, les champs de blés, le maïs et la compagnie de general food, c'est la pagaille, les yo frappent des balles qui pètent des vitres, les trucks de pompier trimballe des pin-up americaines, Monroe, Spears mais Charles Manson n'a pas de machette, juste un manche, une sorte d'ouvre-boite et il jongle avec, il s'empifre des restes des riches, des os et des fragments de libraires heurté dans le chaos, c'est la mort, c'est le souffle de rage: la renaissance de l'âme. Je m'ennuis tant que je conterais une histoire illogique et incongrue a une pastèque, a la jungle urbaine qui existe au dépend de la famine de l'un, de l'espérance de l'autre. Je braille mes mots, je les pitch, je les hi-fi, je les martèllent violament comme un défoncé sur la K, comme un extasiste sur la MD, très WAK ce MEK pas de BAC surtout pas un DEC, et puis quoi? soudeur, métier de construire, de démolir, d'anéantir, militaire de la terre, artiste dans l'univers, rien à foutre, tu sais quoi? Discutions générale, assemblé de philosophie, rassemblement funéraire chez Alfred Dalaire, ma grand-mère est morte, soit de ceci ce qu'elle m'a apprit; l'indignation de ceux qui s'attaquent aux autres par principe, par pétition, par jonction d'union, de question, la révolution cette science-fiction, ce drame que j'habille de songes à rayons, dans une manoir, une immense maison sur une failaise, faible teneur en gras, hypnose, inconfort n'est-ce pas? La petite lumière éphervécente se dirigait à moi dans toute sa pâleur, crayant le pire je recula, à contre-pas, mais je recula finalement adosé contre ma chaise, les cheveux blasté vers l'arrière comme un mystère musical, innondé dans le piano, dans le violon, la contre-basse et le bas prit dans un barbelé; zut! Attend, c'est bien une flûte que j'entend? ouais, c'est mozart, non! c'est un serpent à sonette, sordide sornette, c'est un lézard qui joue a pac-mac, son rival le plante carré à tetris, c'est un risque mais vlan dans ses dents. Établissons des règles et des lois, prévenons le matyre, prévenons Stef Carse, prévenons Castro, prévoiyons le mauvais temps, bénissons l'essence et le pétrole, soyons francs.
Dans une marmitte mélangeons le sort du créole et de l'ancienne cabale pour obtenir un elixir miranbolant de nouvelles conceptions! Soyons menteur. Laissons les se tirailler sans s'en mêler, ils dorment, comme un enfant, nouveau née qui ne sais pas encore de quoi il faut se soucier, se questionner pour la vérité. Battez vous, battez vous, je ne regarde même pas, je constate le constat d'infraction est grâve dans la lessive vive et marrons quand tu gobe juste un peu trop de champignions, knowmsayin, c'est du slingue, la langue des pauvres que le trisomique french à grand coup de langue dans le métro, c'est la ressource du dingue quand il ne veut pas te frapper quand tu lui tire les nerfs hors de la peau, c'est le symbole d'arrogance quand le langage est maitrisé mais qu'il s'abaise pour te dicter a ton niveau ce que son flow raconte dans l'assiete, entouré de frittes et de hot-dogs steamés a 59 cennes, t'aimes ca dis ? moé aussi. J'arrete cette montée dans une dernière descente qui me hante, me tourmente, me flagèle comme un Christ démentiel, un anté-christ tattoué de swatiska, armé de Ak-47 et de Mp3, tabarnack esti de calisse de saint-sacrament de calvaire de grosse vache laide qui pue, qui jute le jus en tout sens, meurs! MEURS automatisme en moi, ne revient pas, ne te retourne pas, va au trépas, du pouvoir de l'ombre rejoint les rangs, que l'avarice et la luxure soit les pilliers de ta culture. In vino veritas, cheers, santé, nastroviet, chin, salute......................

-Tête de toast brulée enrobée de plâtre
Good [+1]Toggle ReplyLink» El_Presidente replied on Fri Apr 2, 2004 @ 7:47pm
el_presidente
Coolness: 299300
non, moi
Good [+1]Toggle ReplyLink» no.name replied on Fri Apr 2, 2004 @ 8:44pm
no.name
Coolness: 129165
trop de texte , jai mal au yeux
Good [+1]Toggle ReplyLink» iCaRuS replied on Fri Apr 2, 2004 @ 9:13pm
icarus
Coolness: 39285
omg! my eyes
Good [+1]Toggle ReplyLink» MiniBunny replied on Fri Apr 2, 2004 @ 11:10pm
minibunny
Coolness: 54260
AMen!

N.B: Prochaine fois utilise le 'enter' juste un tantinet + souvent pour faire preuve de courtoisie avec nos yeux . =)
Good [+1]Toggle ReplyLink» fukt replied on Sat Apr 3, 2004 @ 2:12am
fukt
Coolness: 71660
lots of french gayness
Good [+1]Toggle ReplyLink» blop replied on Sat Apr 3, 2004 @ 2:12am
blop
Coolness: 200505
hi matt!
Good [+1]Toggle ReplyLink» cvxn replied on Sat Apr 3, 2004 @ 8:23am
cvxn
Coolness: 178620
Énumération de plein de gugusses et... Maudit que c'est long un seul GROS paragraphe!

Fioo....
Good [+1]Toggle ReplyLink» BOBDYLAN replied on Sat Apr 3, 2004 @ 1:18pm
bobdylan
Coolness: 148160
je n'étais pas très lucide lors de la composition de ce texte. C'est pas génial. Mais bon, chanté avec 2 guitares hier soir c'était interessant.
Good [+1]Toggle ReplyLink» G__ replied on Sat Apr 3, 2004 @ 2:50pm
g__
Coolness: 141340
biggest block of scary french words ever

the frech Poison Candy
Good [+1]Toggle ReplyLink» beercrack replied on Fri Jul 9, 2004 @ 3:59pm
beercrack
Coolness: 71410
thread
Good [+1]Toggle ReplyLink» BOBDYLAN replied on Fri Jul 9, 2004 @ 4:03pm
bobdylan
Coolness: 148160
hahahahahahahaahahahahhahaahhahaahha :)
Good [+1]Toggle ReplyLink» Screwhead replied on Fri Jul 9, 2004 @ 4:25pm
screwhead
Coolness: 685565
Originally posted by -- G --...

biggest block of scary french words ever

the frech Poison Candy


:lol
Good [+1]Toggle ReplyLink» mtl_mtl replied on Fri Jul 9, 2004 @ 4:31pm
mtl_mtl
Coolness: 55475
punctuation is your friend.
Good [+1]Toggle ReplyLink» BOBDYLAN replied on Fri Jul 9, 2004 @ 11:29pm
bobdylan
Coolness: 148160
Il y a des passes que j'aime bien :

du papier sablé rouge, raide et saillant de sang, des visage griffonnés, des enfants arrachés, des moteurs explosés, une ville enflammé, des passants innocents, des tâches d'huiles sur les toits, du goudrons dans les mains, des plumes dans les pantalons, de la colle sous les pieds, des poubelles repugnantes.....

yeah yeah boys, this is SO gay.
Good [+1]Toggle ReplyLink» cvxn replied on Sat Jul 10, 2004 @ 8:37am
cvxn
Coolness: 178620
Sounds a bit too negative...
On veut des trucs happy joy joy! ;)
Automatisme Inductif
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