2008 April:

2008 February:

Pensée autour de l'existentialisme Lydien...

Je ne suis pas certain de ce qu'est la mort, je ne suis pas ceratin d'ou vont les âmes... je suis certains que je ne le saurai jamais, et c'est ce que je trouve le plus beau. Je suis certain que je t'aime, je suis certain que c'est réciproque. Je suis ce que tu es et tu es ce que je suis... Je ne sais pas pas ou ira mon âme, mais je sais très bien ou elle est en ce moment, avec toi. Et mon âme s'y trouve s'y bien, et ce pour la première fois de son existence, que je sais que sa place est à tes côtés, aux côtés de ton âme pour le temps que tu le voudras, un ans, dix ans, une vie, une éternité. Les mystères abreuvent notre curiosité, la facilité abrutie et enlève toute saveur. Je veux goûter ma vie, je veux goûter mon bonheur. J'ai envie de ne pas savoir afin de me lancer dans la vie en toute innocence et rêver de ses beautées et de la spontanéitée de celle-ci.

La perception du temps et de tout ce qui nous entour est la seule vérité. C'est à nous de savoir et de vouloir. La vie n'est rien en dehors de notre vision. Chaque fois que tu ne me regardes pas, je n'existe pas pour toi. Chaque fois que tu ne penses pas à moi je n'existe pas plus. Il te faut bien comprendre ce qu'il en est. J'étais, je suis et je serai, et ce en toute indépendance de toi. Le contraire est vrai aussi. Cependant, les âmes soeurs se regrdent et sont connectées en tout temps, peut importe le temps et les kilomètres qui les sépares.

La mort est une aussi belle chose que la vie, seulement elle est beaucoup moins accessible que celle-ci. La comprendre est le devenir. Comprendre la mort rejoint la mort de notre âme puisque le mystère ne sera plus. Je suis mystérieusement amoureux de toi, mystérieusement bien avec toi, mystérieusement en harmonie avec ton univers, mystérieusement libre avec toi, mais surtout mystérieusement épris de toi comme jamais je ne l'ai été avant. Sans mystère nous ne saurions que deux mamifères en quête de reproduction. J'apprécie le mystère.

La vie est mystérieusement longue, elle l'est autant que l'on souhaite qu'elle soit... en quelque sorte. Ta violente envie de voir la beauté physique de la terre, la mer grise en asie, la pauvreté en argentine, tous ces coins que tu ne crois point possible de visiter en cette vie qui semble coulée entre tes doigts. Cette envie n'est plus une envie à partir du moment ou ta perception de la vie fait en sorte que le tout devient réalité. Le temps passe mais tu ne viellis pas, le temps s'écoule mais tu mature, tu deviens l'Être merveilleux que je connait, cette personne incroyable que j'aime, que j'aime... que j'aime.