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Title:Cadavre Exquis
Posted On:2007-06-27 00:46:07
Posted By:» SpiraLE.T
Views:3706
Cadavre Exquis: (littér.) Jeu collectif pratiqué par les surréalistes qui consistait à faire composer un texte ou un dessin par plusieurs personnes sans tenir compte des collaborations précédentes ( on écrivait sur un morceau de papier que l’on pliait et passait à son voisin).

Beaucoup empreint, également, du concept d’écriture automatique qui vise à laisser le flux créatif littéraire s’emparer de nous et de couler, si on peut dire, de notre inconscient immédiat, sans souci de cohérence, de grammaire ou même de vocabulaire. Conceptualisation très onirique de la littérature, du psychisme imaginatif et du potentiel de création.

Des mouvements qui jaillissent directement du surréalisme, comme les automatistes des années 1970, s’inspirent de ce concept et l’appliquent dans toutes les sphères artistiques où les limites sont totalement abolies.

Dans le respects de la tradition, les mots inventés et les fautes d'orthographes n'ont pas été corrigés soyez indulgents. Je sais que cette lecture peut être longue mais elle en vaut la peine... certains sont meilleurs que d'autres mais évidemment c'est subjectif
Laissez-moi vos commentaires!

Cast

Laurie-Eve
Sophie S.
Sophie B.
Julien
Pierre
Isabelle
Geneviève R.
Petite Tête
Francis
Le mexicain
Raoul
Catherine
Charline
Tina
Dominique
François
2 gars rencontrer à Berri, leur noms m’échappent
Ilya
Mme Rôtie de Bœuf
Vincent
Karine
Jessica
Martin
Pénélope
Rémi
Charles-Olivier
L’amie de Pénélope
Charles (alias bob lacasse)
Jonathan
Louis
Mathilde
2 gothiques
Juno
Alexis-Roy
Le gars des élection
Laurence
Pierre-Luc
J.S.
Yann (alias RAD)
Virginie
Phil
Max




Cadavériquement sale et putride dans une consolation avide
et dénué de sens organiser et orchestré par les médias définis
par les paysans qui divulgue notre laisser-aller qui engendre
proscuité et achalandage au centre de nos esprits confus par le
chiale controversé d’une gauche attardée qui nous pique dans nos
veines intraveineuses infrastructurées de poses saisissantes
endoloris d’endorphines mutantes en codéine multicolore qui est
en effet l’intransigeable respecté qui dans l’abîme de nos corps,
nous fait refléter l’antidote secondaire et éphémère de la haine
engouffré dans un trou profond de l’humain mysanthrope qui a peur
de tout, des autres, de lui-même et même des objets du vécu
personnel qui ne font qu’agraver la mélancolie de tous les jours.
Je vais me crucifier avec un sang aussi pur que le Jésus-Christ
enlisé dans la merde du futur christianisme qui remet en cause
l’existence d’un tout-puissant très mal aimé et sale parce que
tout sens la caverne putréfactive de rats et de soldats putés,
de vautours également qui font le tour, qui font la disposition
des éléphants à deux têtes qui dans leur peau d’egmophyles qui se
piquent, qui baisent en se piquant d’une seringue interpretée comme
un Dieu hétérophyle qui est en effet un Déesse mythologique qui
m’empêche de me fixer dans le vide des illetrés trop sporadiquement
fou, je vais à la découverte du tapis blanc.



I beggining the story c’est comme si je vas me coucher pis je vas
partir dormir et je vas également boire/me soûler et tenter de
fourrer avec un étalon bandant qui va me remplir ben comme faut avec
sa grosse verge ou plutôt grosse convergence, que sont les médias dans
cet humble médiocrité qu’est notre société affaiblie par le désir d’être
aimé par quelqu’un qui me complète sur tous les plans et partir ensemble
en voyage dans les Antilles sont saupoudrées de malfaiteurs malbaisés qui
préfèrent s’écraser plutôt que d’expier le désir ensommeillé qui tue leur
gaieté mais putain que l’indirigeable animé m’amène à me requestionner sur
l’absurdité de l’existence humaine par rapport au néant qui désigne la fin
du tout et je me perds dans l’indésirable mais qui se passe sans pouvoir
décisionnel je n’ai aucun droit sur le temps qui passe parmi le passé, le
présent se parsème de futur aussi incompréhensible que le passé ou le
présent qui s’entremêle pour créer cette absurdité qu’est la vie est une
défaite face à la mort qui totalement imprécise nous n’avons pas le choix.
Nous devons perdre l’organisation de nos cellules qui par la détérioration
nous amènerons à la déchéance étant un mot sans sens précis qui ne fait
pas partie de la vraie réalité abstraite A oui qui fait partie de nous j’ai
peur d’exister mais j’y peux rien car la vie est la plus belle chose qui me
soit arrivé et quand je pense à toi Charles, je suis euphorique mais ce
n’est qu’éphémère.



Dans les vallées sablonneuses un certain être de
malaise se fait grandissant, une angoisse qui
pourrait se résumé à une centaine de détails plus
insignifiants les uns que les autres. Ils, elles
sont à la merci du pacifisme. C’est pourquoi de ma
chainsaw sanglante et affilée, je l’ai décapiterai
peu importe l’amour que je leur porte et qui me
rends malade de désirs envers l’énergie environnant,
perforant mes particules génératrice d’idées lorsque
dans son tout et d’ailleurs ce n’est là qu’une
manifestation d’une logique qui elle est universelle
dans une sorte de cubicule énervé et temporellement
sonné , ce qui nous fait revivre l’absurde moment
présent, l’intense initiation burlesque de nos sens
en ébullition chaude et pétillante je me sens comme
un pantin rattaché à la force des hormones intenses
qui drainent mes veines et qui coulent comme
l’appétence transversal (inverse de transe) de
l’hypothétique poétique.



Et si cela ce pourrait être en total
Dénouement agréable mais sans
ajouts pur à l’état second que
nous sommes, si fragiles et
persécutés par des moments où
les maniaco-dépressifs nourrit
aux meilleurs grains possible de
parcelles outrageuses qui les
mettais de plus en plus en colère
car la détention de son âme ne lui
permettait pas de laisser leur délires
incohérents délires vous perturber.



Sur une immense colline d’argent, je
m’enfonçai tranquillement au milieu des
billets. Une odeur souillé m’emplis la tête
ensanglantée, il entra dans la caverne
obscure où gisait le loup blessé qui rampait
de peines et de misères afin de rejoindre le
plus tôt possible son clan pour que les loups
lui pansent ses plaies béantes dont la croûte
de pue s’étendais sur tout son corps. Il se sentit
faiblir, le sang absorbait le coton et bientôt il
fut submergé. Tout à coup une lumière les
aveugla, c’était un météore qui en tombant
brûlait dans l’atmosphère austère du cimetière
où se répandait une odeur mortuaire qui me
glaçait d’effroi, j’en perdis tout contrôle,
j’avais mal à la tête et aux yeux. J’essayai
d’avancer à tâtons mais je perdis conscience
avant même d’en voir le bout. Ce même bout se
mit soudainement à brûler d’un feu rouge vif qui
engloba son corps tout entier il se jetait dans ses
bras en l’encerclant de ses mains moites et lui
bécotant les joues passionnément. En fait, il ne
manquait que le champagne question de bien
arroser la soirée par son angoisse. Il se rendit
compte que cette femme tentait de l’enfirwoper
dans ses griffes. Il la repoussa, et coura vers la
porte. Il tomba, se releva et puis tomba encore.
Enfin il atteint la porte. Cette dernière était
verrouillée à double tour. Il cria, cria comme
un animal qui léchait sa plaie béante. Un peu
comme le roman de Nelly Arcand qui, selon les
dires d’Isabelle maréchal, est un témoignage,
l’auteure ouvre sa plaie et décrit ses souffrances
personnelles. Interminable cri qui lui entrai
dans la tête comme un coup de fusil qu’on
donne pour achever une victime



Ils étaient comme des feuilles mortes
qui se laissaient dominées par le vent
violent qui produisait des vagues
immenses sur la plage forma cette
intensité devant mes yeux ébahis et
j’entrepris alors une escapade dans le
fond de mon âme à la recherche des
vestiges grecques ensevelis sous la
terre qui, tôt ou tard seront retrouvés.
Il reste tant de choses conçues par
l’homme qui sont disparues. Espérons
que nous retrouverons quelques uns de
ceux-là et qu’ils nous en apprendront
sur ces petits lutins malicieux et
mesquins qui jetaient sur moi leur
regard vicieux emplit de malseinité.
On les considéra attentivement et on se
rendit compte qu’ils allaient former un
cocus. On eut dit qu’ils discutaient mais
le fait qu’ils fixaient leur attention sur
nous m’amenait à penser qu’ils parlaient
de moi et ma cousine voyagions dans un
monde matérialiste et de technologie qui
nous amena à l’aliénation accélérer de
nos corps qui nous transforma en automate.
Je puis dire que j’ai perdu tout jugement
critique. À vrai dire, je reste passif devant
toute la complexité de la société qui essaie
le plus possible d’atténuer la différence, ce
qui diverge de la pensée unilatérale
conformiste. Créons-nous des espaces de
créations personnelles afin de produire
notre propre ligne de fuite qui me créait une
porte de sortie subite qui m’amena au cœur
du désarroi et de la déraison.



Amorcer le processus n’est jamais chose facile.
Encore faudrait-il qu’on y pense. Pis même là,
calisse que c’est pas évident d’être soi-même
parce que ça fait tellement mal des fois de dire
ce qu’on ressens vraiment la chaleur est accablante
et rien n’indique que ça va changer le cours du
quotidien. Et on y retourne. On essaye. On essaye
ben fort mais la p’tite boule de haine au centre d’la
bédaine est prête à exploser qui avec la hache de
ces mots certains et préfabriqués, elle se découpa
les ligaments de ses rotules premièrement et virent
jeter les restes de ce qui avait été inutile, pis pas à
peu près. À se demandait vraiment pourquoi. Ce
pourquoi du comment avait peu d’importance,
mais à se demandait pourquoi ce que j’étais parce
que je déteste ce que je suis venue et j’aime mon
passé si présent et malsain à la fois.



Oui, oui, oui, oh oui, j’honorerai la tradition et bénéficierai
comme il se doit de votre entière stupéfaction qui si loin de ma
chair j’accrochai mon âme. 16 heures plus tard, nous nous fîmes
dévorés les membres un par un et nous finîmes par décoller de la
méprisante Cyndi et son irrésistible flamand bourgeois fauché par
un piéton amputer qui ne cessait jamais de se rompre. Leur chair se
décomposa lentement après leur avoir grugé leur joie et leur gaieté
immoralement charpentière du mal qui mettais le mot à sec dans le
mot lavage moderne qui nous automatisais comme des robots prêts à
visser des boulons toutes la journée et d’écouter les nouvelles tous
les jours où ils nous bourrent le crâne avec leur société parfaite.
Le télé journal est une conspiration du plus rose des roses bonbons.



Le bonheur est une chose accessible et ce
en tout temps de curieuses trompette et des
amis, les rires rassemblés dans une quête
profonde où tous recherche ce dont ils ont
besoin individuellement et collectivement.
La brume de l’été était douce comme une
rosée matinale qui s’écrase gouttelette
après gouttelette sur leur peau éclatante.
Goutte par goutte le temps passe lentement
car rien était pressé et tout était si beau.



Ils s’exploitaient et se vendaient comme légumes dans les épiceries des grandes villes où tout le monde vous cuisine jusqu’au centre du cerveau, le regard inquiet, le petit rire jaune empoisonné d’une angoisse que lui rongeait le sang cristallin de cette pauvre femme délavée de son âme à qui on
soumettait une pression immense et démone, il se questionnait, il voulais quitter sa piètre interprétation lui laissait dormir en un divin petit soupir qui s’éloignait de sa mystérieuse
cavité que j’observais avec ahurissement! Au secours criait-elle au secours! Au voleur, monsieur l’orignal à tout voler l’argent, ce salaud, ce bâtard de beige abrutissant qui me transportèrent
dans des éclats d’insouciance insupportable qui régnait au-dessus de nous comme des imbéciles heureux. Parce que nous ne sommes pas, nous croyons, nous croyons en tout ce qui est bon de croire et c’est comme ça.



Sanctuaire de l’impassibilité où nous étions obligés.
Le silence, résolu au refoulement de notre moi profond
c’est bizarre, cette chose ne m’inspire pas, j’irai
lancer du papier de toilette dans les arbres aux
feuilles qui tremblotent au gré du vent venant du nord
où il y a de drôle de gens qui s’amuse pleinement à
regarder leur mur s’effondrer dans toutes leur splendeur.
La grande épopée d’une nouvelle ère allait entrer en jeu
de société, c’est compliqué, ça pue et ça me donne envie
de vomir le saumon que j’ai mangé pour souper en l’honneur
des papillons agriculteurs qui avait labourer la terre
toute la journée en étaient maintenant fatigués d’être
négligé à l’insu de la belle Miranda un peu soûle qui
s’adonnait à une observation obséssante des haricots verts,
elle mange, mange, mange et ne peut s’arrêter, elle sent
son ventre qui gargouille et c’est ça, elle est mal, grosse
et perverse et insultante elle alla insulter les gens en
manque d’idées merveilleuse causeuse de chez Germain Larivière.



Ils étaient là à se demander si la Terre allait finir par tourner dans le sens où pointer le nez, tous à la recherche de leur propre trésor perdu. Ils étaient dans le vaste océan de marchants qui marchent en rang bien rangés et bien définis avec une exactitude perçante. Cette ligne est quelconques et me donne envie de faire l’amour car elle se consume et se continue sans cesse dans
une consolidation heureuse et définis. La rage commençait à peser sur la fatigue du lutin sans tête. On voulait tous te bercer, pas te balancer, te bercer… oublier tout et te balancer de tout. Dors. Alors, se réveillant de se sommeil profond, ils allèrent cultiver des bibelot pleins de souvenirs, l’antre du diable repose dans l’enceinte cadavérique de l’ancien pharaon d’Égypte qui est un tombé
totalement infini dans l’orange qui transcendante l’émotion auditive de la faim du loup pourchassé par la foi qui ne s’était pas manifesté restait inexacte et infranchissable. Mais malgré tout, tu m’anime, moi bibelot mort enterré avec un peu de laisser-allé. Qui laissent aller le smog de la
ville en pleine effervescence de télévisions pas enchaînées à la chaîne commerciale qui nous explose.



Nous sentions l’illumination s’emparer de nous. J’en avais mal au cœur. Les gens se mirent à vomir leur entrailles étant coulantes de sang chaud. Ils s’en délectaient tellement qu’ils ne pensaient
plus à rien d’autre qu’une saloperie de bas socialement acceptable que les grosses usines avaient rendus au top du top avec leur lamentable usine crasseuse et puante dans laquelle nous pourrions nous barricadé jusqu’à ce que mort s’en suive comme des automates ridicules qui s’amusaient à se ridiculiser car ils étaient programmé comme ça qui disait feu Gédéon Létourneux mort écrasé par une bouse de girafe qui gambadait ici et là dans l’agora d’une éternel passion entre un couple démodé qui passait leur temps à se chicaner pour des histoires de postes complètement débile dans lesquels on a confiance.



Ici à soir c’est le pays de la palette drette.
Trasher, dégueuler ark ark ark j’hais osti de
vague qui coule car je me sens bien ici, avec
toi, baignant dans cette malseinité mais peu
m’importe plus que tout. Danser sur les murs
ici ou là mais notre gourou c’est qui? Peut-être
un chevreuil? Peut-être un mancho… quoi qu’il en
soit il n’est pas très doué pour se camoufler
parmi les têtes de mort qui claquent des dents
sur les chandails et les saccoches. C’est la
danse du morons-piton, le charlo du règne
d’outre-mer celui qui se déhanchait tel un
pot-pourri abjecte empli de tripes de langues
qui fument toujours et de veines qui swingnent
autour de nos cous. Digérons cette abjecte fange
qui disait en couinant « j’ai des souliers neufs,
j’ai un chandail bleu » la comptine de sonatine
écrite par un compositeur complètement junkie qui
aimait secrètement se caresser avec des pattes de
vieilles calomnies qui imposaient sur le cerveau
juvénile une telle emprise qu’il était dur d’y
échapper mais dans quel trou faut-il se réfugier?
Au fond aucun n’est assez discret pour éviter d’être
découvert par la gestapo qui traque et couic comme
se le dira le dernier souffle de Jimminy le lapin
qui se demandait pourquoi le monde en était arrivé
là. On se doit de hurler plus fort que la musique.
BOOM BOOM, AAAH, BOOM BOOM faisait mon cœur en manque
de vous savez quoi, c’est pourquoi je m’écris fucking
bullshit, tabarnak d’osti de caniche. Je sais ben que
tu vas te faire coiffer à la mode lion avec le pompon
pis toute la patente me donne l’envie de leur cracher
dans dace. Ils ne me dérangent pas tant car ils me sont
indifférente mais dans une orgie, je leur chierai bien
dans la bouche.



Marchildon, c’est don ben la clique in pour
se faire réparer les pieds en les mettant sur
des orthèses. C’était ahurissant. Je marchai et
partout il y avait de ces orthèses. Je me
demandais qui avait bien pu les mettre là. La
réponse était évidente : ses yeux ne trompait pas ;
ils étaient d’un rouge « océan indien » sur tout
leur pourtour avec l’entrelacement des nerfs qui
sont mis en évidence jusqu’au plus petit rien.
Ils nagent tous sans cesse dans l’agglomération
douteuse qui fait de nous des esclaves insalubres
et paresseux car il mâchait la vieille rengaine
« à quoi bon » et préconisait le no futur (façon
de penser qui prendra vite de la popularité auprès
des jeunes). Et Kurt Cobain n’aide pas à remédier à
la situation déclinait et s’écrasait. C’était d’une
décadence inouï. Les idées s’envolaient et se mêlaient
créant ainsi une tempête féroce. On nageait dans la
compote aux pommes, aux cassis de la compagnie
« Bonne Maman » sont tout simplement bravissimes.
Tu goûtes et tu restes bien accroc un peu comme les
incorrigibles dopés qui pensent en fonction de la
seringue. Me transpercer le corps et le cœur.
J’étais entremêlée.



Je fixe l’intensité. Je ne me réveillerai plus.
Ni demain, ni le surlendemain ainsi de suite
jusqu’à l’infini des possibilités qui s’offrent
à ma vue me laisse parfois perplexe et déterminé
était son sombre personnage de rechange quand il
en avait assez de sa personnalité à lui, il
changeait pour celle de son inconscient qui
s’incruste partiellement au sein de la conscience
pour la déstabiliser, lui faire réaliser certaines
idées profondes et ancestrales une caractéristique
ou plusieurs qu’elle donnait à son âme dépourvue,
assoiffée de vie et de peine noyé à fond par la
compulsivité de nourriture éparpillée un peu
partout par un bon samaritain qui avait de la
pitié à l’égard des pauvres chiens-chiens qui
doivent se satisfaire des cochonneries du dr.
Ballard. Un docteur diplômé de l’école des
vétérinaires il avait un pedigree de taille
contre wiscatt la nourriture de chat qui ne
pesait pas le poids de la concurrence publicitaire
qui mène à rien qui vaille du pareil au même; les
publicités tape-à-l’œil qui veulent exclusivement
faire saliver le consommateur déjà converti dans
la Machine Infernale gobe-sous comme un aspirateur
malsain qui pourchasse les plus faibles afin de
leur soustraire leurs joies, leurs peines, leurs
misères. Bref leurs émotions.



C’était comme si je m’élançais dans le vide et que je savais qu’il n’y aurait personne pour me ramasser par terre car j’avais chuté d’une brouette (chose commune) pour les jardins. Je hurle pour que les gens s’empressent de me prendre irremplaçable. Je criais et je pleurais de me le rendre.
Mon très cher toutou, ami de toujours qui me ressemblait étrangement d’un pittoresque et grossier personnage dans la soucoupe volante avec un complet fluo et à la tête carré et aux cheveux frisés. Il ressemble à un hamster mais cubique je la sentais tout autour de moi. Elle m’enveloppait. J’avais l’impression de baigner dans la sérénité. Je la sentais soudain lourde bien qu’une palourde comprends la contraction « pas-lourde », la définition revoie plutôt à une lourdeur qui pourrait très bien être n’importe quoi. On s’en balance, on goûte et puis on déguste, advienne que pourra mais je n’y comptais déjà plus, je m’étais envolée et je fus aspirée par une énorme cavité. Ah osti que je suis tannée bâtard! S’en est une absurdité. J’aimerais comprendre intellectuellement l’essentiel mais l’essentiel se saisit par le cœur. Ma devise : fonce comme Johnny qui brandit son pedigree dans sa Lamborghini avec un martini qui l’étourdit. Il tomba inconscient sur le sol. Les gens s’affolaient.



Puisque nous somme ici, parce que la
louve le voulait bien. Cette forte et
immense matriarche qui nous clouait
sur le sol sur lequel siégeait les
tyrans, nous assaillèrent et c’est
pourquoi nous eurent accès à nos
harpons bucoliques qui pleuraient
la rouille sur nos corps trop
oxygénés, et de mon cœur qui pollue
les ondes énergétiques de Marine
la femme qui hoquetèque tel une
pastèque irrésistible à laquelle
je ne peux succomber.



Mais je non plus comme dans le lot du plus pluriel des mots
qui sont mes ordures favorites et avec lesquelles je stimule
mon vomi qui sent la pelure de zombie, aussi cruelle soit-elle
que l’azure plombant sur nos regards vides. C’est un prétexte
pour ne pas salir ma virginité du moment latent qui l’attends
comme un présent et elle se rompit en morceaux-blocaux poisseux
de la façon dont j’ai toujours été malaxé à cause de son rapport
entre mon phallus et ma gorge se noue tel un sec raisin de lavage
qui perd son sens quand on y pense mais on n’y peut ni plus ni
moins, j’ai attrapé la suicide comme le vent d’hiver au travers
du chemin qui m’éclairait tel le spot, lumpanuskeat qui créait
autour de moi l’abîme des sentiments heureux qui sont une fable
pour exorciser non pas des démons mais la respiration.




Courroies, barrois, ce sont comme des synonymes d’émotion
et d’énergie en motion. Le ciel est déchiré par les
nébuleuses bleutées. D’un instant à l’autre tout pourrait
s’écrouler comme toutes les barrières de notre raison qui
parfois font défaut de nous-même et du reste, du temps qui
nous a été donné. Évidemment, tout cela devait entraîner
des conséquences de l’incohérence et de l’absurdité des
plus petits mouvements sourds en relation avec la
visualisation de la musique. Ce requiem en gamme mineure
pour les compagnons perdus de l’arche perché.




Je renchéris et c’est d’autant plus fort, je considère ces idées comme étant l’apothéose d’un certain réalisme des évidences colorées, en petites miettes au fond de mes mitaines dorées.
Le froid était si intense que j’en perdait le souffle. Mes ennemis bien huilés s’en donnaient à cœur joie. C’est pourquoi je me lancai dans un combat sans merci : des coups de pieds ninja comme on n’en fait plus de nos jours, la perspective de ce fait nostalgique nous arrache une grosse larme salée collective, bruyante et explosive qui faisait sentir la menace. Une telle chose est insupportable dans le genre qui la regarde. Manque t’il quelques chose… hum je l’ignore. Ce que je sais, toutefois, c’est que l’homme est un loup pour l’homme et moi je suis le piège tendu du braconnier.
Le plus fin chasseur ne pouvait l’attraper dans une forêt si dense. Les feuilles m’ombragent et prennent une place considérable dans ma stupéfaction à prendre les choses à leur plus simple expression. Au même moment le ciel s’entrouvrit en une grande crevasse lumineuse d’où s’échappa 1008 tortues japonaises génétiquement modifiées : leur gènes avaient transfigurés et réarrangés, comme du positif au négatif. Je me situe entre la ligne de déséquilibre, ni un ni l’autre, je fais partie d’un équilibre inhibés, androgyne et multigame, je renvoi aux philosophies, l’âme d’un être libérés de la contrainte yin/yang qui les a tous subjugués. Et tout ce beau monde avait de grands rêves mais au bout du compte le maestro était mort et l’orchestre trop paresseux.



Les membres de la famille

Le rendez-vous la guettait lourdement. Après mûre
réflexion, elle accepta et se retrouva dans l’ignoble
dépendance accoutrée comme sur le perchoir de
l’imaginaire impliqué il dénudait sa peur du ridicule.
Oui, je vous l’assure, les gens humiliés sont portés
à avoir des pensées suicidaires assez névrosés, comme
exemple le plus frappant, prenons Hélène Laviolette,
une fillette surprenante du désir qu’elle partageait
à tours et à collaboration son obscure et maladroite
naïveté. Le pauvre petit Job se retrouvait sans cesse
aggloméré dans un pouvoir d’autodestruction assez
remarquable. Mais il ne s’en rendait pas compte, il ne
pouvait s’en rendre compte de la gravité de l’embauche
d’émerie butterfly, le soleil ne serait plus au
rendez-vous ni la claire embouillade qui s’échafaudait
dans notre fort intérieur agrémentée de l’ajout sale de
la visqueuse Rachel et ses manies déconcertantes et avare
du pouvoir qui lui giclait du poids, le gras s’emplit d’un
colorant plutôt rougeâtre, l’obtention de la simili viande
était là debout devant moi me criant : Je t’aime,
Je t’aime, Je t’aime, Je t’aime mais ce n’est qu’une
illusion des plus rabajoie. La famille Ogolbitz était
prête à tout pour laisser quelqu’un sans sa touragilte.




Quand nous obtenions la délivrance des quadrapes mélancoliques, nous mourrions silencieusement dans la sombre plaines accompagnées de mes compagnons de combats, qui tous étaient certains de la justesse de notre cause. Cette flamme qui nous animait était telle que même la mort n’étouffait notre idéal s’apparentait comme un linge souillant notre être si lamentable qu’il était, il nous émanait sa puanteur nauséabonde qui amplifiait notre déambule populaire de cette ville est
notamment dû à la forte pression que subissent ces pauvres gens accablés par leur travail et au fait qu’il soient trop préoccupé à se morfonde sur ce qu’ils ont besoin plutôt que d’apprécier ce qu’ils ont et au bonheur qu’ils pourraient bénéficier d’une tentacule géante qui aux pieds de la chose se
sentait irréprochable mais au fond d’elle-même elle savait déjà sa mort prochaine subite mais vraie. Cette vérité nous rempli d’un bonheur immense et totalement incontrôlable était cette vielle
danse oublié de tous car le tous était après le verbe.



Claire brume semé dans l’antre anspectrale du relant
d’énergie qui cherche à agir et à réagir. Attention,
il faut se méfier et ne pas se laisser prendre, la
moindre réaction pourrait entraîner de malheureuses
expériences qui sert à apprendre et à grandir ver
l’inconnu qui nous parsème. C’est la porte qui
s’ouvre pour laisser place aux autres de prendre leur
place et leur sort est jeté. Il faut bien s’y prendre
car parfois l’appréhension est trop grande pour
concevoir trop belle pour voir le ciel s’illuminer
sous les atèles du premier feu d’artifice, l’étincelle.



La morale de cette histoire

Je sais pas pourquoi mais tout le monde est comme des coccyx de fucking star qui chante des étoiles molles par ses joues trempées d’acier clair bleutées et d’arsenic. On peut passer beaucoup de temps à regarder autour sans jamais voir le comment du toujours glorieux sans me tenter. Allez, tournoies
sans arrêt dans une sorte de vibe puissante ou coule le réservoir à sec du désir malfamé des gens de
grandes envergures qui font la collecte de sang locale. Pourquoi? Pourtant c’est sur que tu peux sans cesse nier le parchemin qui nous éclaire mais ne passe pas à côté de la résine du courant féerique qui n’empêche aucunement des propos satiriques. N’arrêtes pas de courir en sens inverse. Tu
portes des shorts et puis tu crois pouvoir finir premier mais la seconde n’est pas si pire petit gros. J’aime pas ses pensées profondes qui n’empêche pas de croire en une réalité vertigineuse. Mais je perds le sens du contraire falsifié du chemin rigoureux de l’avant-garde du garde mobile à la longue fourche. J’oublie toujours la raison pour laquelle on se préoccupe du danger imminent qui nous verse à l’intérieur du gouffre végétal béant et laid. Troubader dans un petit monde égoïste et paresseux.



Quand j’y pense, c’est un peu comme de
la gomme balloune très collante qui
laisse des résidus de vielle bique qui
pendouillaient de sa manche gauche. Il
tenta tant bien que mal de cacher son
état, car un étranger lui tenait le
bec le clouant ainsi de toutes impunités
qu’il aurait pu se délivrer, si abjecte
et inconvenable « t’es un osti de mangeux
de marde » dit une voix sortie de nulle
part. jouissait son dessein tel l’emblême
d’un grand chef tartare qui se nourrissait
exclusivement de cervelle de guépard un
ben beau costume entéca.



Quel dilemme car on ne croit plus être, nous ne sommes que béat comme des animaux de foires complètement enfoirés. Le foin était encore humide en orient quand le froid arriva dans le nord de l’Ohio et que les wapitis gambadaient dans la forêt merveilleusement habitée que par les maléfiques crétins de l’absolution étanche et cruel qui les encerclais comme un rantamplan étendu sur le carré fuit le cube car le carré est retrouvé plusieurs fois dans le cube au moins 6 fois mais en subdivisant le nombre on parvient à pu savoir kes-kon dis… ce n’est qu’une aberration des plus dictatoriale. Une nouvelle pensée d’écrire plein de fautes et de perceptions agglomérantes. La vie de bidons ville est repoussante mais est extrêmement attirante, la crasse, la merde, le vomis, la diarrhée, le mucus, la shmou qui s’étendait dans l’absolu tellement qu’elle est inévitable et avec raison.



Quand il ouvrait la bouche, les gens se taisaient.
Il était tel un manitou vénéré de tous. Le
grouillonement des larves frémissaient au soleil.
C’était réconfortant. Mais la foule l’envahissait,
peu à peu il se mit à faire froid. Il neigeait sur
la Terre et bientôt l’on n’y vit plus rien. Peu à
peu toutes les espèces disparurent seulement les
mollusques du creux des océans avaient survécues,
survivants dans un monde parallèle en écoutant le
chant des mouettes mouillées. Le liquide
embarrassait ses mouvements l’empêchant de briser
la coquille s’était inversée et maintenant
produisait un va-et-vient maléfique qui rendait
la population dépressive. Une maladie transmise
par le gras de cochon sur les pilules du bonheur.
‘‘Du petit Jésus en culotte de velour’’ comme disait
son père. Un vrai bonheur. Le néant ce fit dans
sa tête lui glissant des mains ses pensées se
bousculèrent formant un énorme gruau d’idées



L’automate subversif détient la vérité entre ses mains,
il la sert mais ne s’en sert pas à grand chose parce
que malgré son utilité dites, ces méprisables désirs
n’amène rien de particulier et d’enrichissant à la
boule d’émotions bouleversée, tant c’est grand et
c’est splendide comme une pourriture choyée par les
plus fortunés d’entre nous, la réprimande sale ce
croit au-dessus de nos convictions mais il n’est pas
question de la laisser faire. Les choses importantes
viennent d’elles-mêmes, il ne faut que les attendre
impatiemment car tout fini toujours par une négation
de mon être insatisfait par les étranges sensations
tremblotantes comme quoi la mort n’est peut-être
qu’une raison de vivre est la raison pour laquelle
j’existe dans cet espace saugrenu qu’est la course
folle à la montre de la réussite sociale et
inatteignable que par ablation du moi-véritable,
rythme et mélodie, une concordance assaillante.



Quand je me suis aperçue que j’étais complètement amoureuse je me suis tirée une balle dans la tête
car la vie ne valait pas la peine d’être vécue, c’est un stéréotype qui nous emprisonne dans la
prison de la normalité, dans d’ineffable rêves de mousses impossibles qui s’étendaient sur son corps
assombrit par la lèpre qui le dominait et le sodomisait tel une boule d’inconscience spontaniété
vilaine dans les rues de la ville, qui nous mène à la paranoïa infantile, incapable de contrôler nos
esprits fragiles déambulaient dans le corps livide qui revient toujours au même car il est mal dans sa peau et qu’il n’affirme pas sa différence funèbre, dans des temps que l’on ne peut exprimer tellement ils sont obscurs. Ces petits démons de la société qui vous prennent au flajoiela et qui décident de votre abortion mentale, je déteste la béatitude.



Je vais me tuer car le néant à compliquement
dit je suis qu’une anémone qui se meurt
tranquillement comme une tortue lente. Moi
je suis un petit patapon qui se promène
éternellement dans les rues de St-Brun rempli
de bourgeois qui m’enrage BANDE DE CONS. Être
saupoudré de la sérénité des 40-50 ans qui
exercent une malseinité sur moi, mot qui
n’Existe pas, c’est pourquoi je suis si seule
et que je meurs à petit feu…moi je me sens
bizarre constamment tocké et j’aime pas ça…
c’est ben bizarre… c’est ben moche/poche. Je
suis malade du mal qui m’habite qui me ronge
les trips de MSN mais qui me persuade d’être
malheureuse mais (encore) tout redeviens au
même. La plante commence à me regarder d’un
drôle d’air, me troublant davantage, à chaque
minute que je la regarde, je m’époustoufle
jusqu’à ce que je ne puis regarder son feuillage.
Je vais trouver ça drôle comme une batch de
linge sale qui vas nous réprimander jusqu’à
l’aube, le petit refrain du sex-symbol.



Guëtan était couché sur le sol glacé.
Il regardait les étoiles en sachant
que ce moment serait par la suite
révolu du comité de l’ouvrage
quotidien, l’obtention d’un désir
serait maintenant sa seule angoisse
qui régnait chez elle la prenait de
part et d’autre, la transportant
dans un immatérialisme fou. Fou du
jour. Accroché à la boucle, le
statut de l’homme tombe
continuellement en neutralité
déconcertante. Guëtan devenait de plus
en plus parano tout en se mangeant la
lèvre férocement, il s’entrevit couvert
de plaies béantes.



À l’aube de son sursaut, l’épidémie atteint le seuil de l’indépendance qui se ruait sur l’impassibilité des gens comme une bactérie vicieuse complètement abasourdi par le pouvoir qu’elle avait face aux cerveaux qu’elle succionnait son prochain… il ne pardonnait pas le fou rire excessif et le punissait de sa bouche excessivement brimante qui nous accablait et nous étouffait. Cette idée préconçue qu’on nous avait implanté refaisait surface nous menaçant une minute à la fois prenante et exorbitante mais jamais sans parler, dans l’instant du moment Sabrina se rappelle souvent ses soirées accompagnées de rires insolites emplissaient la tête des gens vulnérables. Ce rire, ce rire jaune d’un petit lutin qui sautait à l’oreille nous amena à croire qu’il fallait mettre le feu à la demeure ne leur apportait pourtant rien en particulier a part peut-être une abstraction passagère de la défaite qui l’affectait, son sex-appeal qui se manifestait lorsqu’elle consommait trop d’alcool.


Parce qu’ils se demandaient sans cesse comment
ils s’en sortiraient mais c’était sans compter
sur l’effort de guerre qui comprenait une
orange et un cornichon sûr, celui que tous les
bons amateurs de cornichons préfèrent. Bref, s’en
suivit une épopée circonstancielle où tout se
mélangeait dans un désordre insolites de patates
pataugeuses débarquèrent de leur vaisseau
intergalactique, pitchant des économes sur les
économistes cons. Paraîtrait que les gens aiment
beaucoup ce type de cailloux étaient très recherchés
en Arizona où des géologues pleuvaient comme des
gouttes dans les oreilles, l’interne, l’externe,
des gouttes d’eau et des gouttes de sulfure de
carbonhydrate monosodique point. J’imagine que tout
ça se terminera par une valse maléfique mais quoi
qu’il en soit, ainsi soit-il.


Condamnation interminable et insolente dont je souffrais graduellement. Malgré mes supplications ils continuaient leur lamentable discours oral du professeur qui me saute aux yeux car peut-être saura-t’il me plaire par écrit, une magnificence. J’escaladais ce mont d’étapes et je me dirigeai tout droit au cœur du désordre et où s’affirme l’ordre car il est impératif que le cosmos prends corps à partir du chaos emplissait la pièce du lumière éclatante et enivrante, je me basculais le corps spontanément comme une bobine de fil entêtée fini par s’effilocher du fait qu’il n’est plus raccordé avec les autres fils du foulard et on pourrait audacieusement affirmer que la justice qui sera instaurée dans la communauté précédente seront composées d’individus contraints dans leur liberté s’accroissaient de jour en jour comme un fantasme pitoyable et propre à lui-même mais en un sens l’autre, l’alter ego bienfaisant-malfaisant toujours sarcastique comme un espèce de clown débile qui court à droite et à gauche pour prouver au monde entier qu’il est le meilleur, le plus riche, le plus beau, celui qui sens meilleur. Bonjour bonjour, j’aimerais vous présenter ma femme M. Patate, le voici.


Elle n’avait pas mangée depuis des jours,
soudain son estomac ballonna et grossisa
alors il explosa en mille morceaux.
Ensuite le balayeur, grâce au balai
magique de Mickey, nettoya les débris.
Il arriva la même chose que dans Fantasia :
les balais se dédoublèrent, puis clones après
clones ils se multiplièrent comme des pantins
avides dans la société moderne accompagné
de l’accroissement industriel irraisonnable
et de fausses représentativité propose un
tableau navrant.


C’était une belle époque où tout sentait
bon et où les gens étaient heureux et
n’avaient absolument aucune idée de ce
qui les attendaient impatiemment quand
l’aube arriva enfin et que les rongeurs
commençaient à sortir de leurs trous tout
noir et humide comme l’intérieur de tes
cuisses chaudes, fumantes et alléchante.
Il se léchait les babines de sa langue
épaisse et suintante devant ces morceaux
de poulets bien cuit et fortement assaisonnés
à l’ail et au gingembre dont les géants
raffolaient grandement tellement qu’ils
salivaient allègrement dans un champs de
marguerites bleues et roses, les enfants
tombaient du ciel dans des paniers emportés
par des cigognes claustrophobes angoisses qui
nous entraînaient dans un délire incohérent
et qui nous faisais affreusement peur. Nous
sommes si sale enfermé dans des mouchoirs
jaunis pas des morvions expulsés de mon nez
tout rougit par les mouchements est un mot
qui n’existe pas dans cette catégorie je préfère
smegmatiques pantins malléables et définitifs
qui s’admiraient machinalement devant la glace.
Fixé comme des automates, dans une réalité
propre à moi-même même si ce n’est pas
exactement ce que je pense de leurs
accoutumances et de leurs traditions
insignifiantes qui nous force à acheter 300$ de
cadeaux qu’ils ne méritent pas.


J’ai l’impression d’exister et c’est une
première car avoir l’impression de ne
pas exister est plutôt la norme. Oui
exister car autour de moi il y a des
individus s’en allaient dans un parc
pour faire bien tranquillement de la
grossière indécente d’une vierge
lubrique à la peau diaphane qui
réveille en moi une sorte d’incohérence,
tout ceci vient chercher un genre de
désir et une merde qui me rappelle le
froncement de sourcil et la différence
que je vis et que je préfèrerais taire en
me pendant autour des jambes un tutu
bleu poudre qui me ceintrais la taille à
merveille qu’une seule main peut
embrasé car deux ne peuvent
qu’embrasser avec le poison qui exhortait
de ses lèvres et qui me tuait à petit feu.
Je meurs et je deviens une genre de mort
qui m’aspire et j’ouvre la gueule gluante.
Une gueule qui laissait tomber sur son
ventre blanc des filets de bave qui coule
sur sa joue me fait rappeler le néant qui
m’envahit car il coule dans le vide au
souvenir de son sexe que je n’ai pas
goûter alors je le noie dans un fantasme
infinie. Toi belle je t’aime alors délivre
moi de ton charme. Espèce d’enfoiré
de trou du cul qui me tient par la
gorge ne sachant pas si tu vas
sortir avec cette poubelle à sperme.


Je me rappelle d’un événement peu commun :
allongé de tout mon long sur le haut d’une
côte routière des Laurentides, quatre femmes
iroquoises me lançaient des grands harpons
dans le but de me tuer. Je tentais d’esquiver
ces armes redoutables mais c’était peine perdu.
J’étais blessé de toute part. il vomissait son sang
poisseux et âcre. À tout moment l’espèce était en
voie d’ablation et elle danserait maintenant devant
ses disciples en ricanant sournoisement de ce qui
allait probablement arriver si son chum ne faisait
pas un bond hors des rails avant que le train n’arrive.
Le seul fait de penser qu’il pourrait être déchiqueter
la rendait anxieuse et angoissée. Elle se rongeait les
ongles jusqu’au sang pleurant et agonisant de
douleur intense que lui assimilait cette pensée
horripilante. Elle vomi tout son corps et finis
gémissante près du bol de toilette. Mort pathétique,
c’est-à-dire une mort tout à fait imprévisible; bref
le fruit d’un accident de parcours, d’une rupture
inattendue avec l’élan vital de l’individu qui plonge
les yeux fermés dans une multitudes de projets lui
envahirent la tête lui sautant ainsi sur les masses
gluantes de son cerveau procédant ainsi à une étape
de succion afin de lui enlever tout espoir dans la vie.
Je sentais que j’étais voué à la défaite, à l’échec brutal
et ce, quoique je fasse. Je devais me résoudre à cesser
de croire que je pouvais changer le cours de ma vie.
J’optai pour une philosophie détermiste extrémiste;
me laissant dériver par ce que la nature avait dictée
pour ma vie.


Elle marchait dans un noir absolu, tâtonnait les murs
humides à la recherche de ses réponses car disons le
qui ne recherche rien? Finalement comme le début de la
fin encore à venir, elle se perdit dans ses propres
réflexions sur l’amour car elle jugeait le concept trop
complexe pour être clairement systématisé en un tableau
logique. Tout ce dont elle pensait à ce sujet ne faisait
que l’amener à d’autres questionnements interminables se
dessinait dans sa tête. Elle fut prise de malaises et on
lui assimila ce genre de médicaments lorsque vous souffrez
de boulimie ou d’anorexie chronique qui lui assimilait des
spasmes vertébraux qui s’avérait en être les conséquences
à long terme d’une épisode traumatisante qu’elle avait subit
quand elle avait été frappée par un ivrogne violent. Son
globe oculaire se détacha de son œil et le sang giclait
partout arrosant les passants dégoûtés. Il fini par mourir
attaqué de convulsions qui venaient de toute part (faites
vous en une image mentale) à la manière des parasites qui
s’Amoncellent à une vitesse vertigineuse, qui s’accouplent
et se reproduisent pour former des macro-regroupements
d’insanités indésirables. Elle tenta de se laver et de se
relaver ainsi sans cesse afin de perdre cette sensation
désagréable mais au bout du compte, elle se lava tant
qu’elle fini par n’être que méconnaissable. Une poupée de
chimère qui enregistre tout et qui n’est plus rien.


Dans une réflexion insensée, je tombai à genoux sur
l’asphalte. Ces derniers furent écorchés vif et le
sang coulait maintenant à flot de quelque chose d’on
j’ignore le nom. Elle avait la mauvaise habitude
d’oublier d’avaler sa salive durant les cours de
français était son nom au complet, si charmant et
élégant qu’était ce personnage du 17e siècle dont
toutes les filles de l’époque s’écroulaient à chaque
passage elle trébuchait. Ses amis l’appelait
affectueusement casse-noisette. Il était si ému par
son cadeau si spontané. Pourtant ce n’était pas sa
fête. Il fut réellement touché de ce geste anonyme,
il alla même jusqu’à engagé un détective privé qui grâce
aux empreintes pourrait alors retracer l’individu n’était
pas chose facile. Tout de même, elle pris le temps de
s’offrir un sac de chips au ketchup. Elle avait les doigts
tachés de rouge étaient ses cheveux aussi lisse qu’une
belle pomme ciré. Oh vive les pesticides! Si vous saviez
comme j’aime en ingurgiter afin de rendre mon estomac malade
à différents degrés de stupidité. Elle souffrait du A8,
légèrement au-dessus de la moyenne. Toutefois, cela ne
l’empêchait pas de faire des mots-croisés dans le journal
du samedi. Il livrait ses putains de journaux religieusement
comme l’imbécile qu’il était malgré tout, il finit par connaître
l’inévitable vérité du savoir et de la longue quête qu’est le
chemin de la vie spirituelle.


Paulie le perroquet accro aux narcotiques venait de se pendre avec son perchoir pleins de fientes
toxiques était en crise d’épilepsie lèprement affreusement déçue de Jack le lépreux si malsain se retrouva dans un désert conquis par les puantes sardines du Maine empoissonné par les déversements
chimiques des usines d’épuration des eaux de bécosses alors que pendant ce temps un éléphant dépressif se drogue aux ativants. Tel est le résultat d’un état se donnant l’impression d’être important… viva les ativana. Quand ils tomberont sous mon emprise, je les sodomiserai! Joyeusement, il mit a exécution sa menace. Mais la poire était innocente, elle envoya donc promener avec des chips le bleuet sauvageau. Sa mère adoptive de l’aimais donc elle lui arracha la tête et lui chia dans le corps accompagné d’un virus juif qui espérais à jamais perdre sa virginité pour ne plus se faire embêter par les Beatles qui se croyait les maîtres du monde urbain.


Je l’imaginais dans les bas fond de l’insouciance mais il se mentait, il s’illusionnait, il vivait
dans un rêve parfumé d’un air et d’un décor raté où les gens ont l’air beaucoup plus laid qu’ils
le sont en vérité!! La synthèse des facettes de l’amour d’antan subsiste sous la forme d’un flot
bénéfique autant ils étaient serein et plein de quiétude mais au fond d’eux-mêmes, ils se mentaient,
ils ne s’avouaient pas leur triste sort. Désemparé, redouté, ils se détestent parce qu’il se trouve gêné. Pogné dans une peur, accablé par ses attachements sensorielles, il s’éloigne de sa nature profonde qui s’étend dans le tout, dans l’impersonnel catégorie où les gens se font croire qu’ils sont heureux. Ils s’aiment bien les gens, ils se plaisent les gens mais parfois ils n’aiment pas à quoi rime tout ça? Est nécessaire si vous souhaiter accéder aux univers parallèles décrits dans les
livres fantasmagoriques d’un Lovecraft ou d’un Maupassant. Ces auteurs qui percevaient un quelque chose de très fort dans l’existence trompeuse de ces individus malsains qui prescrives des antidépresseurs à toutes ces personnes pleines de bon sens est une chose la mieux partagé selon les dires de Descartes. Ou peut-être suis-je dans les patates se conduisait avec abstinence et sobriété mais bientôt elles éclatèrent on ne les revirent jamais plus mais tout le monde s’en torchait tellement.


Je descendis l’escalier lentement puis plus vite et
plus vite encore mais je ne percevais pas le bout je
descendais encore pour toujours se masserais les
organes génitaux avec de la laine d’acier en regardant
une photo quelque peu aguichante de jean Charles alors
un grondement retentit tel un gigantesque requin qui
pleurait en petite boule laver par ses larmes causer
par un désarroi croissant de plus en plus attachant tel
une crotte de chien mort. Elle gisait sur le bord de la
borne fontaine alors que la pluie se mit à pleuvoir des
smokes. Ce qui fit l’effet de rendre joyeux tous les
petits enfants qui se mirent à ramasser toutes les
cigarettes et les fuma sans arrêt. Dans le fond toutes
les compagnies de tabac on fait tomber des cigarettes
pour se faire plus de clients a pour dépanneur sur le
bord de la 640 alors que maf…. Q.négoude?? (à revoir) se
massait les joues en murmurant je… je… je t’êïme à son chat
aimant se balader par la fenêtre. Il tomba 10 étages plus
bas dans la neige en courant et en poussant un miaulement
qui terrorisait tous les villageois enivrer par la mélancolie
de la solitude car elle était embarré par en dehors.



L’étendue de mon corps dans l’espace est comme la relation avec l’espace-temps.
Je me perds dans la perpétuité du moment où il s’approche du frigidaire, il fut
absorbé par un mini trou noir qui disparue par la suite. Au bout du compte, il
se retrouva à St-GlinGlin des MeuMeu. Il n’avait aucune idée de l’endroit où il
se trouvait dans un vide prématuré qui nous hantait si fort que nous en
vomissions nos entrailles chaudes et bouillonnantes de nos désirs incongrus et
désuets que nous avions jamais la peine d’aller jusqu’au bout il ne lacherait
pas il va tous les tuer ses putain de communistes. À mort les écureuils et les
rituels de magie blanche. Vive satan et les démons. Vous allez voir l’apocalypse
approche ouais! Lui dis-je sans me soucier des conséquences, alors je mourru.



L’insouciance nous emportes dans un tourbillon de couleurs insalubres reflétaient
dans mes yeux hors de leur orbites et pendant jusqu’aux pieds de l’immense tronc
pétrifié dans la glace. Un état de stupeur, je fis demi-tour et me mis à courir
dans la forêt. Mon haleine humide sortait de ma bouche comme un brouillard
d’insectes volubtiles qui envahissait toute une ville pour nous dévorer et nous
tuer un par un en vous arrachant les tripes pour les avaler en se réjouissant
d’un profond plaisir comme un psychopathe qui régresse sans cesse, comme un objet
former par la société qui s’amusait à tuer les gens car il refoulait sa sexualité
et ensuite il allait se taper des trips de cul et ensuite des trips de tuerie.
Ils s’éventaient en gang, leur intestins coulaient le long de leur corps blême.
Ils pleuraient et criaient, ils s’arrachaient lentement une partie de leur âme.
Bon sang vous auriez dû être là! C’était terrifiant et troublant.



Le passionné collectionnait l’ambiance comme
seule porte de sortie de la rue avec un oiseau
qui suffoquait à l’intérieur de sa cage de prison
l’empêchait de fonctionner en armature soulèrent
leur danger fiscale. Ils achetèrent donc des cartes
de crédit.



Je suis dans l’abîme infini du continuum espace-temps qui
m’enivre et me grise au travers de la fenêtre, je vois le
paysage d’hiver du Québec que j’aime tant. Il me rappelle
de beaux souvenirs surviennent lorsque je pense à l’odeur
des champs qui nous ensevelissait sous la couche de neige
qui laisse transparaître notre fragilité du silence et du
calme qui englobe la dernière partie de nous-même nous
apprenons beaucoup, il suffit de s’écouter et de laisser
aller nos émotions pour se rendre compte que la vie vaut
vraiment la peine d’être vécue comme un papillon dans un
champs de fleurs où pousse de magnifiques roses blanches et
roses comme l’éternel qui fait partie de chacune d’entre nous
comme l’éphémère bonheur qui nous fait aimer et désirer des
hommes parfois étranges. Nos vraies pensées reflètent souvent
notre vraie personnalité aux autres. J’ai donné toute
l’affection que j’ai pu donné mais en vain ils n’ont pas su
traduire tous les signes que je leur aient donné comme le
corps qui ne ressent plus et qui souhait le désir mais cela
laisse une chance à l’antipathique société dans laquelle nous
évoluons sans cesse et qui nous ont amené à connaître des gens
supers.



Il se dandinait comme une ridicule marionnette assoiffée d’amour.
Elle rampait, elle n’arrivait pas à obtenir se dont elle avait
besoin d’un rotodendron pour compléter l’extraordinaire splendeur
de mon jardin d’Eden qui offre la béatitude et les grandes joies
de l’oisiveté de ses cadavres étaient pareil à un monument historique
datant du 20e siècle on croyait qu’il était mort mais soudain il
jaillit du béton tel un sous ministre de la préfecture qui a signé
un traité de non-inclusion des êtres verdâtres qui fument des cigares
nauséabonds à la pleine lune les jours du 18 décembre à l’occasion de
la mort de Gilbert Bécaud était le défunt pour qui on livrait sans
cesse des toasts à la mémoire de Gordon Siméon Vlad à chier citadin
et rotadelle et je me perds dans des mots valables et insensés. Ouaf!!
Insensé, voilà la morale de cette histoire incompréhensible. Dans une
brève synthèse de littérature, l’absurde prédominera toujours dans
l’esprit des artistes.



Rantamplan et son fidèle ami parcourait la ville à dos de chameau soudain ils tombèrent
tous sous le désarroi de la chose aussi hypocrite que possible. J’explorai ces mondes
translucides bleu et mauve et même turquoise qui dansaient autour de moi. Je sentais
même leur emprise rendait le but de plus en plus agressif envers le départ tant attendu
de Gilbert Bécaud ce grand aimé de la chanson francophone qui passait tous les dimanches
sur ciel FM avait désemparé des milliers de personnes du groupes 18-40ans et ils
cherchaient sans cesse leur tendre moitié dans le journal.



Les monuments qui se vantaient avec leur posture imposante se perdirent
dans leur égocentricité et finalement ils se sentirent démodés, invalables,
moches comme le système scolaire québécois qui nous fait faire tous pleins
de cours inutiles, qui nous empêche de focusser sur les sujets qui nous
intéressent vraiment. Ça rend notre éducation de piètre qualité même s’ils
nous laissent le « choix » de faire ce qu’on veut est cette publicité débile
qui prône des valeurs insensées. Quand est-ce qu’on pourra se prouver que
l’on est que des pions dans un jeu trop grand comme l’univers et tout ce qui
nous entoure pour les comprendre en tant qu’humains avec des limites. Nous
sommes un tout dans rien et rien dans un tout en s’aggripant à une partie de
l’infini pour se créer un temps duquel on ne peut aller au-delà des paramètres
raisonnables qui l’imitait mon mental. Un jour j’irai au delà de tout ça, je
découvrirais se qui se trame derrière ces murs bleui par la pourriture qui
dénote bien de la vrai réalité que tout est éphémère. Tout ce qui est n’est
pas acquis et devra un jour ne plus être. Il est pathétique de suivre les
conventions psychologiques et masquer la réalité par des concepts comme la
religion pour ignorer ce à quoi on ne veut pas faire face à notre désespoir.
On ne pouvait même plus se regarder en face tellement on avait peur de nous
même de ce qu’on était réellement et on le camouflait derrière les épaisses
couches de maquillages fabriqués à base de placenta infecté par la vie et qui
consiste notre premier contact direct avec la réalité, de notre infection
originelle qui se répandait souvent au moyen-âge, au moment où tout était
maudit par Dieu et où l’hygiène était une défaillance de l’époque.



Dans l’adversité de la société règne un chaos total dans lequel se démène mon
incompréhensibilité qui par delà des divinités, ce morfond mon impersonnalité,
la froideur extrême de mon corps, tes seins matures et souples, il se pavane
devant l’hôtel deluxe du club med en Floride du sud ou à San Tropez ou tu
deviens ce que tu as toujours évité. Je ne veux pas être le vide de ton tout,
l’inexplicable dignité absolue de l’obscurantisme clérical règnera éternellement,
le pape bandé sous un magnifique soleil au bord de la plage accompagné de palmiers
qui ballottaient au gré du vent comme une poupée d’arsenic qui se perds dans
les renversements de son esprit coagulé. L’esprit coagulé des morts-vivants
régnait dans l’absurdité existentielle. Microbe ou bactérie? Une question d’esprit!
Ça ne fait pas partie de toute l’existence du plus grand, on se perds dans nos
perceptions, si gigantesque tes fesses à saveur de vanille.



J’ai commencé à ressentir le vide et la danse au centre de ma tête. J’ai eu envie
de bouger, d’explorer l’espace et de comprendre ce que mon environnement signifie.
Sans doute le niveau d’émancipation propre à tous les milieux de vie insignifiante
et hâtive qui exagère nos propres faits et gestes, je cours sans m’arrêter, à en
perdre haleine dans le monde qui me porte incompréhension. Ça me fait tellement mal
de survivre et d’exister serait probablement trop intense. De comprendre les choses
dans toute leur complexité arrive à tous les jours qu’ils nous restent sont comptés
tant qu’à notre volonté de changer la triste réalité qui nous entoure. Ce monde
putride et infecte d’intransigeance exténué et de misères tristes qui est trop souvent
considérée comme passé, alors que la tristesse est tout à fait actuelle et présente.
Il ne faut plus avoir honte de ses malheurs car la honte engendre la tristesse des
autres personnes que l’on fréquente. À qui pouvons-nous vraiment faire confiance au
point de franchir la barrière de la paresse mentale.



Je ne pense pas. Je ne suis pas seulement le reflet de ce que je veux bien
paraître mais que j’ignore la faculté de pouvoir mettre en œuvre tous ses
projets les plus illusoires qui peut lui passer par la tête est d’une
souplesse presqu’incroyable et je l’écrase de mes deux mains. L’éffoire sur
l’espace elle se répand à une vitesse folle tel un jello sanguinaire. Ça
ressemble à une poutine mais avec la sauce qui pogne trop épaisse pis qui
fait des mottons entre les dents du cadavre colérique me rendes amères, je
dois les fracasser autrement je devrais vivre avec l’idée qu’il me souriait,
le marteau… le bruit est immense et doux et je bois à sa santé sur le trottoir
parsemé de vésicules biliaires qui se tordent de rire en regardant la fourmi
qui accomplie sa tâche sans vraiment y réfléchir parce que la tombe est si
grande je me met réellement à penser m’y enfoncer… le lac si étroit est sous
mes pieds, creux et invitant. Dans le sens quand on rencontre le robineux qui
pu de la gueule à trois kilomètre pis qu’il te parle fort à trois pouces de la
face est coulante comme la substance blanche dans mes bronches mais est-ce mieux
que l’insouciance? Qui a réellement le contrôle sur la réalité? Tsé comme quand
on fait un barbecue avec une dizaine d’amis pis que tout va légèrement mais
soudain y’a le con qui la lance sa tite pointe qui glisse en un froid total!
Parce que anyway s’en ai fini de raison se perd dans une congélation perfide.



Dans le blanc des yeux se cachent la vérité, l’absolution, l’étendue, la vie
et le tout saupoudré d’un soupçon de sucre en poudre, ajoutez deux jaunes
d’œufs et faites cuire à 350’F d’atroces souffrances où je voyais ma chaire
fondre, se calcinée et se déchirer en lambeaux mous et pendouillants qui
revolèrent sur moi lorsque j’ouvris la porte, il ne faut pas mettre de chien
dans la sécheuse de l’espace-temps. Les cadrans à effet solaire se
démultipliaient nous conduisant dans d’autres lieux extra-temporelle où nous
gambadions dans l’esprit des mouches néerlandaises à moitiés aveugles et qui
volent au-dessus de la paroisse St-Georges, au loin on entend le curé
chantonner gaiement un succès des années 30 : « mes manches sentent la luzerne »
qui émerveillait mes dessous d’aisselle commençait à être détrempée à force de
baigner dans la sueur nauséabonde de ma vielle peau flasque et juteuse mais
elle le jeta dans la poubelle avec les autres détitus qui furent dévorés par des
centaines d’insectes microscopiques galle de joies qui lui pourrissaient le
cœur et les os à un point tel qu’il se décomposait sur place.



C’est dans un important tournant que l’individu qui croit vivre est mort prématurément,
il n’a pu achever son œuvre parsemée d’incohérence amena le grand publique à le comparer
à un automatiste qui comme le principe littéraire, s’inspire à la base ‘‘d’art de
l’inconscient’’ venait de sa raison d’agir qui le pousse à mutiler son corps qui se traduit
par le bris de ses ligaments, l’éclatement de son cartilage, la rupture de ses vaisseaux
sanguins. La béatitude intellectuelle était solidement encrées mais, en vain d’attendre
afin d’obtenir l’absolution d’un Dieu blanc, chrétien, ils finirent par se tourner face à l’incertitude qui garantissais angoisse mais liberté ne fut jamais réellement obtenue à
force de luttes incessantes entraînant sueur de l’âme et perte de sommeil… une fois qu’on
a compris, difficile de se rendormir pour un moment, pour recommencer le cycle un jour.



C’est cette absurdité qui nous rends dingue, débilos-stratos dans les
vagues de la cryptomanie des petits bonhommes carnivores qui tripe sur
les petites vagues cadaveresques avec l’effroi qui devient froid à force
de boire dans le soir du désespoir et jusqu’au retour de Sir Alfred qui
prédit la mort à venir des gnomes mangeurs de têtes qui oeuvraient dans
les manufactures de couture bon marché de débarat de rats avec l’auto
perception des zombies mutant le chant que la pauvre vie des petits enfants
perdu dans la morve amputée et crottes gluantes étaient la recette de Mme
Pinkle qui avait gagné le prix de gastronomie de St-Lazare était totalement
infecte à l’insu des propres arboriculteurs qui ne prenaient pas de soin morose.



L’incongru qui s’élançait dans ma tête se rendit compte que l’anéantissement ne voulait rien dire mais puisqu’il avait perdu tout ses sens et que ses idées étaient perdues dans l’abstraction
presque totale, il était incapable ne penser et vivre pleinement leur était impossible car avec toutes les éthiques sociales les gens n’avaient pas le droit d’être autrement et ils se firent étouffer tout devint comme dans 1984. Ce qui était également l’année où Victor et Vicky se
marièrent pour la première fois dans les Feux de l’Amour après avoir passé quelque temps en
vacances dans le sud d’une Afrique crasse et sale. Les gens qui y habitaient ne pouvait sentir
la putréfaction puisqu’ils s’y baignaient depuis s
Member Comments
» Reykamik said @ Thu Aug 30, 2007 @ 1:38am
Excellente composition, j'ai tous lu d'une traite, en accompagnant le tout de la toccata et fugue en ré mineur de Johann Sebastian, de Tubular Bells de Mike Oldfield et de l'album Purgatorio, de Tangerine Dream. C'est un mélange des plus exquis (hum...) c'était vraiment une expérience agréable! Chacunes des lignes m'inspiraient des images, je me suis senti concerné par plusieurs des nombreux lexiques qu'ont y retrouve. Plusieurs textes sont très cohérents, compte tenu de la façon dont ils ont été écrit. Merci beaucoup pour cet excellent recueuil, ça m'a vraiment frappé!
» RAD said @ Wed Jun 27, 2007 @ 5:08pm
Oui, je suis d'accord.. merci beaucoup!!!
» lacasse.bob said @ Wed Jun 27, 2007 @ 1:51am
C'est super que tu aie mis tous tes cadavres exquis sur le Net.